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La liberté guidera le peuple Que ceci soit écrit et accompli

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Posté 12 août 2010 - 17:44

Note de l'auteur :



Les faits relatés dans cette chronique sont le fruit d'une intence recherche d'archive et sont tirés de documents officiels, particulièrement le journal du sujet.

Cet écrit est donc la reconstitution de la vie de celle qui fut la plus redoutée des voleuses de notre pays ce dernier siècle : Ildia Cédresse. Malgré tout ce que vous lirez, et qui pourrait pour une personne dont la vie aurait put être rythmée par la simple condition de son existence, tel que fermier ou noble, inspirer la sympathie, n'oubliez pas sue tout ceci concerne celle qui fut la criminelle la plus recherché de l'histoire, avec plus d'une centaine de meurtres rescencé (mais combien en réalité ?). Ces notes permèttent d'éclaircir de nombreuses pages sur ce qui fut la vie de cette femme défiant les nobles institutions de notre monde, et qui en fut punie par le destin.



Sans plus attendre, commençons notre chronique par la première page du journal, écrit quand celle-ci fut adolescente !


Cher journal...



Mon nom est Ildia Cédresse, et je décide de t'écrire pour y entreposer ma rage de cette stupide vie qui me porte !



Je devrais commencer par te raconter mon enfance, mais je ne m'y attarderait pas ! Tout ce que l'on doit savoir, c'est que ma mère était une catain mise en cloque par l'un des nombreux bandits qui venaient boire, dormir et mourir dans l'auberge où elle travaillait. Je suis née dans cette univers puant et malsain où je n'étais nullement désiré. Elle ne cessait de me le répetter ! C'est à peine si, à 6 ans déja, les monstrueux hommes qui m'entouraient dans cette auberge ne me regardaient pas déjà avec ce regard qui en dit long sur leur désirs. Ma mère me répettait sans cesse que ma présence la tuait, aussi n'ais je eu aucun chagrin quand je l'ai retrouvée morte sur son lit, violée et la chambre dévaliser par l'un de ces enièmes clients. A l'enterrement, j'était seul avec le curé, et il fut bien éttonné de me voir cracher sur la tombe de la femme qui m'avait élevé. J'avais 8 ans.



Après la mort de ma mère, mes ennuis continuèrent, puisque je fus forcé de vivre dans cet orphelina crasseux. L'éducation conditionnée et conformisée que l'on nous inculquait était avilissante et abrutissante. Garçons et filles séparrés ! Repas : 8h, 12h, 20h ! Pour ces abrutis que l'on nomment garçon : combat, équitation et forge ! Pour moi et ces idiotes à nattes blonde : Cuisine, couture et éducation des enfants ! Mais moi, je me levais chaque soir, crochetait la serrure du dortoire, et allait m'entrainer dans les quartiers des garçons à l'épée et à l'arc.



Aujourd'hui, on a feté mon quatorzième anniversaire ! Quatorze ans que je moisie sur cette planète ! J'ai eu le droit à tout ! Les rondes des jeunes filles, les jolies robes à carreaux, les bisous hyppocrites et la pomme de terre dans l'infamme soupe qu'on nous sert ! On m'a donné ce journal "comme ça, tu écriras tes projets d'avenirs". Mes projets d'avenir ? C'est de tous vous crever ! Pas d'avenir, pour nous, les femmes ! Un bon mari, trois bébés et basta ! Mais il n'en sera pas de même pour moi ! Je mettrais les hommes à mes pieds pour les regards malsain qu'ils m'ont jeté dans l'enfance ! Le monde tremblera à l'écoute de mon nom ! Je suis Ildia Cédresse et je vous ... [La suite est censurée pour préserver l'esprit d'éventuelle].

Note de l'auteur : Le brève rapport qui suit fut rédigé par la nourrice entre autre chargé de l'éducation de Cédresse, il fut remis le 11 Degalt 892 à la directrice de l'orphelina, Mme Fisia Doisseau.





" Mme la Directrice



11 Degalt 892



J'ai crue bon de vous avertir du comportement inssuportable de la jeune Ildia Cedresse ! Vous n'êtes pas sans la connaitre, je suppose, car chacun de ses faits anime la plaisanterie de nos jeune penssionaires. Non contente d'être insolente, elle est aussi violente et voleuse ! On aurait l'impression que chacun de ses gestes sont animés par la folie. Sans doute cette indocilité revèche et cette colère provient de son sang, car vous n'ètes pas sans savoir, madame Doisseau, qu'elle est l'enfant d'une immonde prostituée et d'un de ces forbans dont les têtes sont fichés à chaque poste de garde. Sans doute l'âme pestilencielle de ces derniers s'est retrouvé dans l'esprit de cette jeune fille.



Il y a deux jours encore, la jeune Lelia montrait ses beaux cheveux au reste du pansionna - la beautée étant la seule préocupation que devrais avoir les femmes de bonne tenue. Mademoiselle Cédresse, qui ne manque pas une occasion de se faire remarquer, la traita d'imbécile et de superficielle, à laquelle répondit Mademoiselle Lelia que cette garce n'aurait de toute façon jamais de mari. A ces mots, Ildia c'est jeté sur sa camarade, un couteau de cuisine - volé, sans doute - à la main, et lui a arraché sa belle chevelure. Aussitôt, le dortoir à hurler, alertant les gardes et moi même. Quand nous sommes entrés, cette démone tabassait cette gentille jeune fille par terre à coup de pied. Les gardes ont tenté de la stopée mais celle-ci à saisie une rapière de sous son lit - on ne sait où elle a put se l'accaparer - et à menacer l'assistance. Après un brève combat à l'épée, où elle avait l'air de savoir se débrouiller, elle fut désarmer et je profitait de l'occasion pour lui administrer une gifle, juste punition selon moi en réponse à son comportement. Elle me rendit mon coup et nous dûmes la ligoté pour empècher cette furie de continuer son massacre.
C'est pourquoi, je demande, en raison de son caractère odieux, qu'elle soit renvoyé du penssionna. Si ce n'est pas le cas, alors je demande ma démission, et ma réhabilitation dans un orphelina voisin.
Avec tout mon respect
Leanne Talmie "
"12 Degalt 892, Orphelina Doisseau (journal d'Ildia)



A cause de cette gourde de Lelia, je suis bloqué dans cette chambre toute seul, avec aucun autre moyen de distraction que de remplir un stupide journal ! La serrure de la porte est super complexe, et de toute façon, j'ai laissé sous mon vrai lit le crochet que j'avais fabriqué. De toute façon, sans doute l'ont ils retrouvé après avoir montré qué j'y cachait ma rapière, empruntée, si je peux dire, dans la salle d'entrainement. Je peux dire adieux à tout ce qui s'y trouvait d'ailleur : Crochet, épée, mais aussi arcs, flèches, grapin, lanterne, nourriture volé et les affaires des autres filles du dortoir. Pour ces derniers, je les regrètes peu, puisque elles ont un mauvais gout démesurés.



J'avais prévus tout ces outils ( fabriqué avec ce que possédais ) je pour m'échaper de ce trou, mais je devrais remètre ça à plus tard... Pourquoi ne me laisse t'on pas m'enfuir, moi détesté de tout le monde (et je le leur rend bien !) ? Tout simplement car la loi oblige les anciens pensionnaires à payer leurs frais une fois devenu adulte. Voilà pourquoi madame Doisseau, cette vache hyppocrite, nous a coonfectionné cet orphelina : Elle est désormais l'une des plus riches personnes de l'île sur laquelle nous nous trouvons. Un vrai bagne !
J'en profite pour faire une petite description physiue de moi même : J'ai les cheveux blanc (allez savoir pourquoi...), que je porte court et enmellée, j'ai les yeux noir, et légèrement bridé. Je m'amuse à déchirer les robes qu'ont nous donne et à les porter de façon... provouatrice, mais je ne montre jamais mes "endroits personelles".
Je déteste par dessus tout les cours qu'on nous inculque : Un couteau de cuisine se range dans une gorge, quand je passe ma main dans les étagères, c'est pour voler des choses plus que pour les ranger, et mes gosses, je les donnerais à bouffer à mes chiens ! (ou mes loups, si j'en ais...). Le seul cour potable, que l'on partage avec les garçons, c'est la magie, mais je suis pas très doué (on nous apprend que des sorts inutiles, de toute façon, rien qui soit meurtrié !).
Rien d'autre à dire... Ma vie est chiante mais je promet de la rendre plus exitant !"
Chapitre 1 : Le Voyage Débute…



Le soleil inondait cette belle journée d’été. Les oiseaux pépiaient leur contentement tandis que le clapotis des poissons dans le fleuve non loin des Plaines de Windia rendaient un fond sonore très musicale. Ce qui se présentaient devant les Héros les fascinaient, en particulier Llyane qui était la plus proche de la nature. Devant eux, une large étendue verte constellée de fleurs roses, blanches et jaunes avec des arbres portant des fruits magnifiques. Des pommes qui plus est. Des pommes au goût unique qui rendait le voyage des Rebelles de plus en plus charmant. Rencontrant parfois des petits monstres insignifiant - qui détalaient d’ailleurs à tout allure en les voyant - ils les tuaient d’une flèche ou d’un sort consommant le moins de Fluide possible. Ce voyage s’avérait des plus facile. Seulement, la pensé d’un nouveau monstre plus fort que Vegas les désespérait. Déjà qu’ils n’avaient pas réussi à le tuer, et que c’était Fly, sa mère et Nono qui avaient accompli cet acte inimaginable… De plus, deux d’entre eux ont dû se sacrifier pour préserver le bien sur Dragotaka… Que devraient-ils sacrifier eux ? Des vies ? Des vies humaines qui ne recherchaient que la paix ? Cela leur était impensable… Malgré tout, ils avaient véritablement besoin de renfort, et seul Libra pouvait les aider à trouver ce renfort.



D’après Haruta, c’était le lieu où le plus de personnes se rassemblaient depuis des lustres. Des personnes évidemment de bon niveau, dépassant presque les Héros. Chacun y voyait un bon côté : Llyane pensait y faire de nouvelles rencontres, trouver des amis tandis que Jackob et Efael y voyaient plutôt le côté physique. Se battre contre des personnes fortes étaient tout ce qui leur importait. Le pouvoir avant tout ! Sinon ils n’auraient aucune chance de tuer Ebirah ! Eden lui pensait aller dans un bibliothèque pour approfondir ses connaissances en matière de sorts et autre. Sans oublier bien-sûr de combattre, c’était évident qu’il fallait qu’il s’améliore lui aussi ! Haruta, elle, restait impassible et d’ailleurs semblait triste en parlant de leur destination. Peut-être par peur d’être encore délaissée à cause de sa nature de diclassée.



« C’est encore loin Haruta ? Demanda Efael vraiment presser d’arriver là-bas. J’ai vraiment, vraiment hâte d’aller dans une grande ville.

- Pourquoi ? Demanda Haruta surprise de voir tant d’empressement de la part du garçon.

- Aucun d’entre nous n’est jamais allé dans des villages ou villes, dit Llyane tout aussi excitée. Nous sommes toujours rester en dehors de tout ça, en campagne, car c’est là où Vegas exerçait le plus son pouvoir. Nous avons vraiment hâte de voir ce que s’est !

- Vous savez qu’avant de passer là-bas, il nous faudra aussi passer par un coin assez fréquenté ? Fit Haruta pensive. Cela s’appelle le Port des Quatre Vents, et c’est un endroit fantastique. L’esprit de l’eau se trouve là-bas, je ne l’ai jamais vu, mais j’ai entendu dire qu’il est devenu complètement incontrôlable.

- Peut-être mais ce n’est pas ce qui nous importe, trancha Jackob. Y a-t-il beaucoup d’aspirants qui se présentent pour devenir des Héros ?

- C’est-à-dire ? Demanda Haruta.

- Y a-t-il beaucoup de personnes qui voudraient se battre à nos côtés ?

- Bien-sûr ! Nous en verrons aussi au Port des Quatre Vents ! Mais ils sont beaucoup moins fort car ils ont moins d’expérience que ceux qui ont pu arriver jusqu’à Libra !

- Et bien, laissons ceux là s’occuper de l’esprit de l’eau ! Dit Jackob déterminé. Notre mission à nous, c’est de nous occuper d’Ebirah, sinon qui pourrait le faire ?

- C’est vrai Jackob, tu as raison… Mais imagine tous ces pauvres gens s’ils se faisaient massacrer ! Arriva à glisser Llyane subtilement.

- Laissons les moins forts s’en occuper Llyane, lui répondit-il gentiment, en plus, cela leur donnera plus d’expérience pour leur vie futur ! Si on peut les aider on le fera, mais notre priorité est celle de tuer Ebirah ! Normalement nous nous devrions ne nous concentrer que sur ce but et non nous rajouter des choses qui pourraient nous ralentir !

- Je suis tout à fait d’accord avec toi Jackob ! Avoua Eden. Nous devons trouver les points faibles d’Ebirah avant de tuer d’autres monstres qui pourraient nuire à la population. Je pense que le plus dangereux est celui-ci ! Donc concentrons-nous d’abord dessus et nous verrons après ! »



Ils parlèrent ainsi tout la matinée en s’enfonçant de plus en plus loin dans les régions d’Elyadès qu’ils n’avaient jamais traversé. Toutes les secondes ils voyaient des filles et des garçons débouler de tous côtés, tuer une myriade de monstres et parler à quelques personnes (des gardes sûrement, mais ils n’en étaient pas sûres) qui leur donnaient quelques objets ou des pièces de cuivres. Haruta leur parla de la monnaie et des coutumes de cette région. Certaines personnes donnaient des requêtes aux futurs Héros et s’ils la réussissaient, ils leur donnaient des récompenses. Ce système était vraiment réputé et marchait très bien. Le seul dans tout Dragotaka basé sur l’entraide de tous

Au bout d’un moment, un peu avant midi, ils arrivèrent près dans un endroit, près de la mer, appelé Colline des Lamentations. Crabes et Méduses les regardaient d’un mauvais œil et les provoquait. Efael et Jackob tournèrent la tête l’un vers l’autre et sourirent, savant qu’ils avaient la même idée en tête, quand soudain, une flèche passa entre eux deux et se planta dans l’une des méduse qui par mégarde s’était trop approchée. Les deux garçons se retournèrent vers Eden qui avait un énorme sourire aux lèvres, et tous trois se lancèrent dans une bataille effrénée pour tenter de savoir qui tuerait le plus de monstres. Pendant ce temps là, Llyane et Haruta s’étaient rapprochées pour discuter un peu, le temps que les autres rapportent de quoi les nourrir avant d’entrer dans le Port des Quatre Vents qui étaient maintenant tout près. Elles pensaient et approuvaient toutes les deux que ces batailles étaient puériles et ne servaient qu’à envenimer les choses !
« Tiens, je crois que j’ai trouver des choses mangeables ! S’écria Eden en accourant les mains pleines. De la chair de crabe et des tentacules de méduses ! Par contre Llyane, si je ne trouve pas de recettes, je ne te demanderais pas de les cuisiner… ajouta-t-il en rigolant. 
Llyane vira au rouge tomate. Comment pouvait-il dire une chose pareil ! Elle cuisinait très bien… Avec une recette… Il était vrai que la dernière fois qu’elle avait cuisiné sans recette, ça avait été un vrai désastre… Tout le monde, à part Efael, avait trouvé ça d’un goût… Nouveau
« Je cuisine très bien avec une recette, s’énerva Llyane.

- Calme-toi ! S’empressa d’ajouter Eden. Je rigolais simplement !

- Oui et bien au lieu de rigoler trouve-nous une recette que je puisse cuisiner un truc !

- Bin t’es gentille toi ! Ça se trouve pas facilement des recettes !

- Arrêtez de vous disputer ! Tenta Haruta. J’en ai pleins moi des recettes !

- Ah bon ? Dit Efael. Comment ça se fait ?

- Et bien, avant pour m’entraîner je chassais beaucoup de monstres et du coup, j’ai récupérer beaucoup de recettes ! Il faut simplement que j’en trouve une qui corresponde aux ingrédients que l’on a et ça sera succulent ! »
Elle chercha pendant des heures dans le sac qu’elle transportait depuis qu’elle les avait rencontré mais n’en trouva aucune qui possédaient tous ces ingrédients. À part la Soupe de Mer, mais il manquait d’autres ingrédients qui se trouvaient sur d’autres monstres qu’ils ne trouveraient sûrement pas tout de suite… Autant essayer de trouver un restaurant au Port des Quatre Vents alors.
Ils avaient un faim de loup et avaient beaucoup de peine à avancer… Ils avaient l’impression que les monstres devenaient de plus en plus rapides, plus en plus forts ! Mais c’étaient simplement eux qui avaient vraiment faim, sans énergie, ils ne pourraient plus aller bien loin… Heureusement pour eux, le Port des Quatre Vents se dressaient maintenant sur leur chemin. La mer était ce que voyait le plus ! Des bateaux de marchandises y étaient amarrés et il y avait beaucoup d’agitation et beaucoup de caisses tombaient des mains des gens tellement la ville était fréquentée ! Tout autours de la mer, un chemin de pierre avait été construit et quelques établis s’y dressaient.
« C’est tout ? S’étonna Efael. C’est tout ce qu’il y a au Port ?

- C’est vrai que c’est un peu petit pour une ville à proprement parler… dit tristement Llyane.

- Il y a une bibliothèque rassure-moi ! Dit Eden en se tournant vers Haruta assez déçu lui aussi.

- Vous ne regardez pas assez ! Répondit-elle en esquissant un sourire. Regardez en l’air. »
Lorsque les Héros levèrent les yeux aux ciels, ils furent si surpris qu’ils en eurent les yeux et la bouche grands ouverts. Une espèce de plateforme surplombait le Port en lévitation ! C’était impressionnant ! Vraiment, ils n’en croyaient pas leurs yeux, pour eux, c’étaient inimaginables !
« Mais comment on fait pour aller là-haut alors ?! Fit Efael ébahit.

- Ce ne sont pas les espèces de trampolines là-bas Haruta qui nous permettent d’y voler ? Demanda Eden.

- Tu as tout à fait raison ! C’est super drôle, on va faire une essai ? »
Tous la suivirent et gouttèrent au plaisir du trampoline. Arrivé en haut ils découvrirent de magnifiques maisons (ou plutôt château tellement ils étaient grands). Les gens se trimballaient avec des animaux et une véritable cacophonie avaient envahit le Port des Quatre Vents.
Soudain, un homme poussa volontairement Llyane au sol. Jackob, en entendant sa petite amie crier, fit volte-face et regarda l’homme au regard sombre dans les yeux. Ses cheveux étaient coupés ras, noirs avec des mèches violacés aussi foncées que ses pupilles. Il faisait la même taille que le Voleur mais possédait des habits et des griffes qui avaient l’air redoutable, et qui d’ailleurs étaient vraiment beaux. Il possédaient un bandana noir et un masque qui recouvrait sa bouche rouge. Son costume était de la même couleur que son casque mais ornés de glyphes violettes qui donnaient un air assez étrange au garçon. Ses armes, des griffes argentées-rougeâtres, étaient deux fois plus grandes que celles que portaient Jackob. La peur commençait à l’envahir, mais l’excitation prenait le dessus. De toute manière, il ne montrait jamais sa peur et l’ignorait totalement. Son seul but, devenir de plus en plus fort pour vaincre à l’aide de ses compagnons Ebirah, et cette quête commençait maintenant.
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